Sa Wat Di Krap!
On savait en arrivant a Bgk qu on y respirait pas l air des campagnes, mais chaque matin on se laisse surprendre par l atmosphere chaude et epaisse qui regne dans la ville.
10 millions d habitant ca fait des degats! Les plus vieux portent des masques car ils suffoquent.
Moi je ne m y fait que sur les coups de 17h, quand le soleil faiblit. La nuit l air devient respirable.
Si on oubli la pollution Bgk devient une ville plutot agreable a vivre. Les gens affichent, pour la plupart, un grand sourire quand ils nous voient. Les gens semblent heureux ici...
On trouve de tout, on mange tres bien, a des prix derisoirs. Avec notre porte monnaie d occidentaux, bien entendu. A Bgk, tout le monde semble trouver satisfaction. A chacun son business!
Meme les plus pauvres ont un truc a refourguer ou un petit service a proposer.
On a vu tres peu de mendiants dans cette ville infernale.
Nous dans cette immense termitiere... on va on vient a travers les dedales de rues et les passages etroits garnis d echoppes en tout genre.
On visite des temples, on deambule sur les marches, on se pose boire une biere Chang, on mange des currys fabuleux. Mais surtout on rit et on se moque des gens.
On a rencontre quelques types sympas et bienveillants, comme Rush, un jeune tailleur du quartier chaud de Kao San. Mais lors de nos allees et venues nous avons croise beaucoup de rabatteurs et d escrocs profitant des blancs culs dans notre genre pour se faire un bon billet.
Du chauffeur de tuk tuk au policier ripou, en passant par l agent de voyage bidon, les Bangkokois veulent profiter de l ete et des touristes pour mieux vivre. Et ca passe par la money money.
Comme on se sent loin du pays de Boudha quand on est touriste a Bgk.
On veut voir une autre Thailande, alors comme prevu on part vers le nord pour un trek a Chang Mai. 13h de voyage en train de nuit nous attendent.
Depart aujourd hui, 19h, Aiiiwaaaaaaaaa!
